Archives
départementales de l’Orne
8 avenue de
Basingstoke
61017
Alençon Cedex
Tél. :
02 33
81 23 00
Fax :
02 33 81
23 01
Mél :
archives
@ cg61.fr
Site :
archives.orne.fr
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ÉVÈNEMENTS
Colloque
interrégional des Amis du Perche : "Le Perche de 1914 à 1918"
Les 4
et 5 octobre 2014 se tient à
Mortagne-au-Perche, au Carré du Perche, le colloque interrégional de la
Fédération des Amis
du Perche
sur le
thème : " Le Perche de 1914 à 1918 ".
Découvrez
ici
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programmation complète et téléchargez le bulletin d'inscription.
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Congrés
des sociétés
historiques et archéologiques de Normandie
Du 15
au 18 octobre 2014 se tient à Rouen le 49e
congrès des sociétés historiques et archéologiques de Normandie sur le
thème : " Les normands et la guerre ".
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programmation complète et téléchargez le bulletin d'inscription.
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Journées européennes du Patrimoine
À l’occasion des 31e
Journées européennes du patrimoine, les 20 et 21 septembre 2014, le
Conseil général de l’Orne invite
le grand public à découvrir ou
redécouvrir les lieux patrimoniaux du département : l’Hôtel du
Département, maison de tous les Ornais, qui se situe dans l’ancien
quartier militaire Lyautey, l’Hémicycle où siègent les conseillers
généraux, le nouveau centre de conservation et d’études
archéologiques de l’Orne, mais également le musée départemental d'art
religieux et les coulisses des Archives départementales
de l’Orne.
Archives
départementales de l'Orne (Alençon)
Dimanche 21 septembre 2014, de 14h à 18h
Musée
départemental d'art religieux (Sées)
Samedi 20 et dimanche 21 septembre 2014, de 12h à 18h
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EXPOSITIONS
Cicatrices européennes
/ Europaïsches Narben / Europejskie blizny
Dans
le prolongement du 70e anniversaire de la Bataille de Normandie, les
Archives départementales de l’Orne, service du Conseil général,
accueillent du 21 août au 30 septembre l’exposition « Cicatrices
européennes », de l’illustratrice polonaise Gabriela Cichowska,
représentant différentes scènes de la Seconde Guerre mondiale.
Cette exposition est réalisée dans le cadre du partenariat entre le
Kreis Kusel et le Département de l’Orne. Rappelons qu’au mois d’octobre
2013, c’est le Conseil général de l’Orne qui avait présenté à Kusel
l’exposition sur la vie du Maréchal Leclerc.
Composée
de 20 dessins et collages,
l’exposition regroupe plusieurs oeuvres de l’artiste sur la thématique
de la guerre, plus particulièrement le débarquement de Normandie. Le
visiteur pourra apprécier le travail artistique opéré sur ce passage
décisif de l’histoire.
Graphiste
et illustratrice, diplômée de
l’Académie des Arts de Cracovie, Gabriela Cichowska donne des cours à
l’Académie de Wladyslaw depuis 2011. Ses compositions artistiques,
dessins, peintures ou graphismes, se retrouvent dans des livres
illustrés. L’artiste aime créer une liaison entre la littérature et
l’art. C’est sa récompense reçue au Salon du livre pour enfants de
Bologne pour son livre d’images, Fantje, qui lui a valu une importante
reconnaissance dans son pays d’origine. L’artiste défend l’idée que
l’illustration n’est pas seulement un artisanat mais un art plastique à
part entière. Le 14 juillet 2014, le Ministre Allemand de la Jeunesse
et de la Culture Ute SCHÄFER lui a remis le prix de la Paix
Gustav-Heinemann pour un ouvrage collectif.
Pour
la réalisation des oeuvres présentées
dans l’Orne, Gabriela Cichowska utilise la technique du collage, du
papier découpé ou du monotype, c’est-à-dire un procédé d'impression
où une peinture sur cuivre, sur verre ou sur matière plastique est
reportée par pression sur du papier.
Archives
départementales de l'Orne (Alençon)
Derniers jours : jusqu'au 30 septembre 2014
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Fleurs de sacristie
Les
soieries à décor fleuri enfouies dans les placards de sacristie
intriguent... Quel est leur usage précis ? A quoi correspondent leurs
couleurs ? Que signifient les éléments de leur décor brodé ? Comment
les dater ? Quelles sont les techniques employées pour leur fabrication
? Et comment les conserver alors qu’elles sont si nombreuses, si
fragiles et inutilisées ?
L’exposition
Fleurs
de sacristie répond
simplement à ces questions, en illustrant ces thèmes par les plus
belles pièces d’ornements liturgiques - ces textiles utilisés pour les
célébrations - des collections du musée départemental d’art religieux,
exceptionnellement extraites des réserves.
Elle
permet au grand public d’admirer le savoir-faire et le talent de ces
artisans qui ont œuvré pour la beauté de la liturgie et de s’approprier
ce patrimoine religieux si présent dans l’Orne.
L’exposition
présente également tout le travail scientifique et culturel du musée
départemental d’art religieux. Depuis
plusieurs années, la conservation départementale des objets d’art
(service du Conseil général de l’Orne), en partenariat avec le diocèse
de Séez, sensibilise les “gardiens” des sacristies des églises du
departement à la conservation in situ des ornements liturgiques. Ainsi,
plus de 500 acteurs de la sauvegarde des églises ornaises (élus,
équipes paroissiales, sacristains et membres d’associations de
sauvegarde) ont suivi depuis 2012 une formation à la maintenance des
ornements des sacristies proposée par le Département.
Musée
départemental d'art religieux (Sées)
Derniers jours : jusqu'au 29 septembre 2014
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La Résistance pendant la
bataille de Normandie
Réalisée
par le comité régional Résistance et Mémoire,
Combattants volontaires de la Résistance et anciens de la compagnie
Scamaroni,
avec le concours de Mémoire et Espoirs de la Résistance, des ONAC et
des
Archives départementales du Calvados, de la Manche et de l’Orne,
l’exposition démontre
le rôle important de la Résistance
en Basse-Normandie dans la préparation du Débarquement et tout au long
de la Bataille
de Normandie avant la libération de la Normandie.
A
travers 17
panneaux
et plus de 120 documents issus des fonds des Archives départementales
du Calvados, de l’Orne et de
la Manche, d’archives
d’associations patriotiques et de collections privées, l’exposition
présente les différents champs d’action (militaire
et
humanitaire) de
la Résistance organisés au cours de l’année 1944.
Les
cinq premiers
mois de 1944, la Résistance se prépare à participer aux combats de la
Libération. En dépit des nombreuses arrestations opérées par la police
allemande, l’implacable Gestapo, réseaux de renseignements et
mouvements de résistance
se mettent en ordre de bataille. Dans le Calvados, les rescapés des
rafles de
l’hiver 1943-1944 peinent à reconstituer une organisation centralisée.
En
revanche, dans l’Orne et dans la Manche, l’unité de la Résistance sous
un
commandement unique est réalisée.
Dès
la réception des messages d’alerte et
d’exécution des
plans d’action diffusés
sur les ondes de la BBC, dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, ce sont
environ 1500
à 2000 résistants bas-normands, rassemblés au sein des Forces
françaises de l’Intérieur
(FFI), sous le commandement en chef du général Koenig, et localement,
sous la
direction des chefs issus de l’Organisation civile et militaire (OCM),
des FTPF
et des services spéciaux britanniques (SOE) qui se lancent dans
l’action.
Contraints
d’opérer
par petits groupes, avec un armement parfois disparate, et dépourvus
d’armes
lourdes, les FFI s’appliquent, avec succès, à couper les moyens de
communications de l’ennemi, à retarder le plus possible la montée des
convois
militaires vers le front et à pratiquer des actions de guérilla.
Poursuivant
ses
missions de sauvetage des aviateurs alliés commencées dès 1940, tout en
remplissant de périlleuses missions de renseignement à l’arrière des
lignes
allemandes, la Résistance normande se montre peu à peu au grand jour,
au cours
des mois de juillet et août 1944, pour guider les avant-gardes alliées,
effectuer des patrouilles de reconnaissance et procéder à d’audacieux
coups de
main.
A
la Libération, les
rôles militaire et humanitaire de la Résistance normande sont
officiellement
reconnus tant par les Alliés que par les forces militaires régulières
françaises, telle que la 2e
division blindée du
général Leclerc au
sein de laquelle de nombreux FFI choisissent de prolonger leur
engagement.
Cette exposition sur
panneaux peut être empruntée sur demande aux
Archives départementales de l'Orne.
Archives
départementales de l'Orne (Alençon)
Jusqu'au
31 octobre 2014
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Un
village de l'arrière pendant la Première guerre mondiale.
La
Perrière photographiée par Paul Lancre
L’exposition Un
village de
l’arrière dans la Grande Guerre. La Perrière photographiée par Paul
Lancre
a pour ambition d’illustrer, à partir d’un fonds de photographies à la
valeur
esthétique et documentaire exceptionnelle, la vie d’une communauté
villageoise
de l’arrière pendant la Première Guerre mondiale. Paul Lancre, natif de
La
Perrière, a réalisé des centaines de photographies de son village et de
la
ville de garnison voisine où il était affecté, avec une approche à la
fois
artistique et documentaire, dans le souci de fixer la mémoire de ce
qu’il
voyait. Par la diversité des sujets traités, par la précision des
légendes, ses
photographies ont une valeur universelle. Elles illustrent de nombreux
aspects
de la vie à l’arrière qui ne sont habituellement perçus qu’à travers
les
sources écrites, parce que très rarement photographiés : la
présence des
troupes alliées, des prisonniers allemands, les réfugiés, l’effort de
guerre
avec les bucherons canadiens, la conscription, la présence épisodique
des permissionnaires,
les femmes et les enfants, le travail des champs, la fraternité avec
les Alliés
et les prisonniers, etc. Le fonds Paul Lancre, acquis par le
Département de
l’Orne en 2011, comprend 15 000 photographies, dont environ
2000 sur la
Première Guerre mondiale.
Exposition
labellisée Centenaire.
Archives
départementales de l'Orne (Alençon)
Du 12 novembre 2014 au 20 février 2015 |
HORS LES MURS
Les
Archives départementales de l'Orne prêtent actuellement plusieurs
documents (archives, photographies) à des institutions partenaires pour
la réalisation d'expositions que nous vous invitons à visiter :
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Août 1914. Tous en guerre !
L'exposition
"Août 1914. Tous en guerre !" est consacrée à la période allant de la
mobilisation à la première bataille de la Marne. Dans ces bornes
chronologiques (les 36 premiers jours de la Grande Guerre), elle
choisit d'aborder, à travers les nombreux documents d'archives issus
des fonds des Archives nationales et de plus de
trente prêteurs
extérieurs, la question de la vie à l'arrière et l'instauration d'un
fonctionnement de crise.
Le visiteur y découvrira les impacts directs de la mobilisation sur la
vie des Français, où qu'ils se trouvent, le travail du Gouvernement et
des Chambres pour encadrer l'entrée en guerre, l'instauration d'une
organisation civile de la guerre, de l'échelon central aux communes.
Bien des aspects économiques, financiers, industriels, sociaux et
culturels seront mis en exergue.
Les Archives départementales de l'Orne sont représentées par plusieurs
photographie de Paul Lancre.
Archives
nationales (Pierrefite-sur-Seine)
Jusqu'au 22 janvier 2015
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Les 100 objets de la
bataille de Normandie
Les
100 jours de bataille qui verront s'affronter 3 millions d'hommes sur
le territoire normand, seront marqués par de violents combats
entraînant des dizaines de milliers de morts dans les deux camps. Pris
au piège de la guerre, les civils normands écrasés sous les bombes,
paieront eux-aussi un lourd tribut à la libération de la France.
Comment évoquer aujourd'hui la Bataille de Normandie sans écrire à
nouveau un récit chronologique des événements ? Comment restituer la
dimension humaine de cette bataille ? Comment appréhender le vécu des
combattants et des civils qui tentent de survivre dans une Normandie en
ruine ?
Pour porter un regard différent sur cet épisode majeur de la
Libération, le Mémorial
a choisi de présenter 100 objets, civils et
militaires, témoins des 100 jours de la Bataille de Normandie.
Emblématique, insolite, étonnant, émouvant... chaque objet a une
histoire à raconter.
Les Archives départementales de l'Orne ont prêté plusieurs document
dont un fichier des réfugiés de la commune du Sap.
Mémorial
- Cité de l'histoire pour la paix (Caen)
Jusqu'au 31 décembre 2014
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Des étrangers en Sarthe, des
sarthois à l'étranger
Les
Archives départementales de la
Sarthe présentent du 1 juillet au 22 septembre
2014,
dans le cadre du centenaire
de la première guerre mondiale, une exposition
intitulée « Des étrangers en Sarthe, des Sarthois à l’étranger ».
Des
archives, photographies et objets évoquent l’irruption de la
politique internationale dans la vie quotidienne d’un département de
l’arrière, manifestée par le séjour en Sarthe des troupes alliées
(britanniques, américains, polonais et russes), des travailleurs
étrangers et des prisonniers ainsi que par les parcours de Sarthois
envoyés hors du territoire national.
Une douzaine de photographies de Paul Lancre représentent les Archives
départementales de l'Orne.
Abbaye
de l'Épau / Archives
départementales de la Sarthe (Le Mans)
Jusqu'au 22 septembre 2014
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Le Perche et les photographes
Le musée de
Nogent-le-Rotrou conserve un fonds photographique, tirages
originaux, plaques de verre, négatifs souples… Il abrite également, ce
dont nous pouvons nous enorgueillir, un ensemble d’épreuves du
photographe nogentais Camille Silvy (1834-1910). Considéré par Nadar
(1820-1910) comme un pionnier de la photographie,
il n’en demeure pas moins un quasi inconnu en France. Sa brillante
carrière, trop brève, en Grande-Bretagne avant son retour
en France en est la cause.
L’entrée
dans les collections de trois photographies ces dernières
années, acquises en bénéficiant de l’aide du FRAM, Trophée de chasse
fait d’après nature, Ernestine et Henri Fergon, Achille Fergon, à La
Croix-du-Perche (1858), ainsi que l’exposition à la National Portrait
Gallery de Londres, qui célébrait le centenaire de la mort du
photographe, furent un déclencheur et un révélateur ! Le Musée-Château
Saint-Jean ne se devait-il pas d’honorer ce précurseur et tous ceux,
professionnels ou amateurs, qui s’attachèrent à immortaliser le Perche
et ses habitants, en raison de leur naissance ou de leurs attaches
familiales, selon des missions qui leur ont été confiées ou simplement
par suite de leur installation professionnelle.
Les
recherches conduites par le conservateur Françoise
Lécuyer-Champagne sur ce médium récent dans l’histoire de l’art, qui
dut trouver ses propres codes, permettent de poser un autre regard sur
le Perche, dans son intégralité, grâce à celui des photographes.
L’exposition propose de cheminer en compagnie des photographes «
primitifs », les pionniers, à la fois chimistes et artistes, des
photographes voyageurs qui sillonnent la France réalisant missions et
reportages, des photographes professionnels qui ouvrirent boutiques et
des photographes amateurs, amateurs très éclairés, dont
certains anonymes.
L’ensemble des œuvres présentées, qu’elles « proviennent de collections
particulières ou publiques, offrent une plongée dans la mémoire de la
vie quotidienne d’une famille, d’une commune, d’une époque, les
photographes en ont capturé l’essence. »
Les Archives départementales de l'Orne sont représentées par
une cinquantaine de photographies.
Musée - Château Saint-Jean (Nogent-le-Rotrou)
Jusqu'au 6 octobre 2014
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ATELIERS
D'INITIATION À LA RECHERCHE
Ces
ateliers
s'adressent à tous, habitués aux recherches en archives ou grands
débutants. Ils comportent des conseils méthodologiques et une
présentation des différents types de sources disponibles.
Le
vendredi après-midi, de 14h30 à 17h
Entrée libre sur réservation et
dans la
limite des places disponibles
Archives
départementales de l'Orne, salle Ordéric Vital.
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Histoire
de poilus : comment
reconstituer
le parcours d'un soldat de la Grande Guerre (1914-1918) ? Après une
présentation générale des sources, plusieurs chercheurs présenteront le
résultat de leurs investigations (Samuel Moreau : les petits artistes
de la mémoire / Nicole Lévêque et Jean Vingtier : les soldats de
Buré, du Mêle-sur-Sarthe et de Mortrée / Alain Ponchel : poilus
Alençonnais).
Vendredi
14 novembre 2014
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Biens
nationaux : les
immeubles et le mobilier confisqués d’abord à
l’Église en 1789, lors de la suppression des ordres religieux, puis aux
émigrés à partir de 1792, ont laissé des traces abondantes dans les
archives. Procès-verbaux descriptifs, affiches de mise en vente,
contrats de vente, inventaires du mobilier, dossiers individuels
d’émigrés sont autant de documents qui intéressent l'histoire des
familles, des institutions religieuses, des bâtiments publics et des
propriétés privées.
Vendredi
27 février 2015 |
Au-delà
de l'état civil : quelles
sont les
autres sources pour
reconstituer l'histoire de sa famille ? Les archives qui complètent ou
remplacent
l'état civil sont nombreuses : soit elles nous offrent
d'autres informations, toutes aussi riches et variées, soit elles nous
permettent de continuer notre généalogie en l'absence des registres
paroissiaux.
Vendredi
10 avril 2015
Attention
cet atelier a lieu à l'Écomusée
du Perche
(Réservation au 02 33 73 48 06 / documentation
@ ecomuseeduperche.fr)
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COURS
DE PALÉOGRAPHIE
Cours de paléographie
Premier
cycle, mercredi 15 octobre
2014 - 17h15 / 19h
Cycle
pour les débutants,
axé
sur des textes du XIIe
au XVIIIe siècle, en
10 séances à compter du
mercredi 15 octobre de 17h15 à 19h (une séance tous les quinze
jours : 15/10, 5 et 19/11, 3 et 17/12/2014, 7 et
21/01, 4 et 25/02, 11/03/2015).
Inscription
préalable : 28 euros pour l'année, moitié prix pour les étudiants.
Deuxième
cycle, mercredi 14 janvier 2015 - 17h15 / 19h
Cycle
pour les initiés,
axé
pour moitié sur des textes des XVIe
et XVIIe siècles et
pour autre moitié sur la transcription du plus ancien registre
paroissial du département, en 10 séances à compter du
mercredi 14 janvier de 17h15 à 19h (une séance tous les quinze jours :
14 et 28/01, 4 et 18/03, 1 et 29/04, 13 et 27/05, 10 et 24/06).
Inscription
préalable : 28 euros pour l'année, moitié prix pour les étudiants et
les personnes inscrites au premier cycle.
Archives
départementales de l'Orne, salle Ordéric Vital. |
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